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TABLE ANALYTIQUE


un accusé, XII, 4. On y lève mal les impôts sur les boissons, XIII, 7. On n’y connoît pas assez la bouté du gouvernement des pays d’états, XIII, 12. Il ne seroit pas avantageux a ce royaume que la noblesse y pût faire le commerce, XX, 22. A quoi elle doit la constance de sa grandeur, ibid. Quelle y est la fortune et la récompense des magistrats, ibid. C’est elle qui, avec l’Angleterre et la Hollande, fait la navigation et le commerce de l’Europe, XXI, 21. Les filles ne peuvent pas y avoir tant de liberté, sur le mariage, qu’elles en ont en Angleterre, XXIII, 8. Nombre de ses habitants sous Charles IX, XXIII, 24. Sa constitution actuelle n’est pas favorable à la population, ibid. Comment la religion du temps do nos pères y adoucissoit les fureurs de la guerre, XXIV, 16. Doit sa prospérité à l’exercice des droits d’amortissement et d’indemnité, XXV, 5. Par quelles lois fut gouvernée pendant la première race de ses rois, XXVIII, 4. Êtoit, dès le temps de l’édit de Pistes, distinguée en France coutumière, et en pays de droit écrit, ibid. Les fiefs devenus héréditaires s’y multiplièrent tellement, qu’elle fut gouvernée plutôt parla dépendance féodale, que par la dépendance politique, XXVIII, 9. Étoit autrefois distinguée en pays de l'obéissance-le-roi, et en pays hors l'obéissance-le-roi, XXVIII, 29. Comment le droit romain y fut apporté : autorité qu’on lui donna, XXVIII, 42. On y rendoit autrefois la justice de deux différentes manières, ibid. Presque tout le petit peuple y étoit autrefois serf. L’affranchissement de ces serfs est une des sources de nos coutumes, XXVIII, 45. On y admet la plupart des lois romaines sur les substitutions, quoique les substitutions eussent, chez les Romains, un tout autre motif que celui qui les a introduites en France, XXIX, 8. La peine contre les faux témoins y est capitale ; elle ne l’est point en Angleterre. Motifs de ces deux lois, XXIX, 11. On y punit le receleur de la même peine que le voleur ; cela est injuste, quoique cela fut juste dans la Grèce et à Rome, XXIX, 12. Causes des révolutions dans les richesses de ses rois de la première race, XXX, 5. L’usage où étoient ses rois de partager leur royaume entre leurs enfants, est une des sources de la servitude de la glèbe, et des fiefs, XXX, 11. Comment la nation réforma elle-même le gouvernement civil, sous Clotaire, XX XI, 2, La couronne étoit élective sous la seconde race, XXXI, 17. Pourquoi fut dévastée par les Normands et les Sarrasins, plutôt que l’Allemagne, XXXI, 30. Pourquoi les filles n’y succèdent point à la couronne, et succèdent à plusieurs autres couronnes de l’Europe, XXXI, 33.

Franchisé. Dans quel sens est estimée dans une monarchie, IV, 2.

François. Pourquoi ont toujours été chassés de l’Italie, X, 11. Leur portrait : leurs manières ne doivent point être gênées par des lois ; on gèneroit leurs vertus, IX, 7 et XIX, 5. Seroit-il bon de leur donner un esprit de pédanterie ? ibid. Bonne loi maritime des François, XXVI, 23. Origine