donnoit des champions, ibid. Détail
des cas où il De pouvoit avoir
lieu, XXVIII, 25. Ne laissoit pas
d’avoir de grands avantages, même
dans l’ordre civil, ibid. Les femmes
no ponvoient l’offrir à personne
sans nommer leur champion ;
mais on pouvoit les y
appeler sans ces formalités, ibid.
A quel âge on pouvoit y appeler
et y être appelé, ibid. L’accusé
pouvoit éluder le témoignage du
second témoin de l’enquête, en
offrant de se battre contre le premier,
XXVIII, 26. De celui entre
une partie et un des pairs du seigneur,
XXVIII, 27. Quand, comment
et contre qui il avoit lieu,
en cas de défaute de droit,
XXVIII, 26. Saint Louis est celui
qui a commencé à l’abolir, XXVIII,
29. Époque du temps où l’on a
commencé à s’en passer dans les
jugements, ibid. Quand il avoit
pour cause l’appel de faux jugement,
il ne faisoit qu’anéantir le
jugement sans décider la question,
XXVIII, 33. Lorsqu’il étoit en
usage, il n’y avoit point de condamnation
de dépens, XXVIII,
35. Répugnoit à l’idée d’une partie
publique, XXVIII, 36. Cette façon
de juger demandoit très-peu de
capacité dans ceux qui jugeoient,
XXVIII, 42.
Comédiennes. Il étoit défendu à Rome, aux ingénus, de les épouser, XXIII, 21.
Comices par tribus. Leur origine : ce que c’étoit à Rome, XI, 16.
Commerce. Comment une nation vertueuse le doit foire pour ne pas se corrompre par la fréquentation des étrangers, IV, 6. Les Grecs regardoient la profession de tout bas commerce comme infâme, et par conséquent comme indigne du citoyen, IV, 8. Vertus qu’il inspire au peuple qui s’y adonne : comment on en peut maintenir l’esprit dans une démocratie, V, 6. Doit être interdit aux nobles dans une aristocratie, V, 8. Doit être favorisé dans une monarchie ; mais il est contre l’esprit de ce gouvernement que les nobles le fassent ; il suffit que les commerçants puissent espérer de devenir nobles, V, 9 ; XX, 21. Est nécessairement très-borné dans un état despotique, V, 15. Est-il diminué par le trop grand nombre d’habitants dans la capitale ? VII, I. Causes, économie et esprit de celui d’Angleterre, XIX, 27 ; XX, 8. Adoucit et corrompt les mœurs, XX, 1. Dans les pays où il règne, tout, jusqu’aux actions humaines et aux vertus morales, se trafique. Il détruit le brigandage, mais il entretient l’esprit d’intérêt, XX, 2. Entretient la paix entre les nations ; mais n’entretient pas l’union entre les particuliers, ibid. Sa nature doit être réglée, ou même se règle d’elle-même par celle du gouvernement, XX, 4. Il y en a de deux sortes : celui de luxe et celui d’économie ; à quelle nature de gouvernement chacune de ces espèces de commerce convient le mieux, ibid. Le commerce d’économie force le peuple qui le fait à être vertueux : exemple tiré de Marseille, XX, 5. Le commerce d’économie a fondé des états composés de fugitifs persécutés, ibid. Il y a des cas où celui qui ne donne rien, celui même qui est désavantageux, est utile, XX, 6. Ses intérêts doivent l’emporter sur les intérêts politiques, XX, 7.