des républiques, et la crainte des
états despotiques, XXIV, 6. Beau
tableau de cette religion, XXIV,
13. A dirigé, admirablement bien
pour la société, les dogmes de
l’immortalité de l’âme et de la
résurrection des corps, XXIV, 10.
Il semble, humainement parlant,
que le climat lui a prescrit des
bornes, XXIV, 26. Il est plein de
bon sens dans les lois qui concernent
les pratiques de culte :
il peut se modifier suivant les
climats, ibid. Pourquoi il fut si
facilement embrassé par les barbares
qui conquirent l’empire
romain, XXV, 3. La fermeté qu’il
inspire, quand il s’agit de renoncer
à la foi, est ce qui l’a rendu
odieux au Japon, XXV, 14. Il
changea les règlements et les lois
que les hommes a voient faits pour
conserver les mœurs des femmes,
XXVI, 9. Effets qu’il produisit
sur l’esprit féroce des premiers
rois de France, XXXI, 2. Est la
perfection de la religion naturelle :
il y a donc des choses qu’on peut,
sans impiété, expliquer sur les
principes de la religion naturelle,
D. I, II, dixième objection.
Voyez Religion chrétienne.
CHRISTOPHE COLOMB. Voyez Colomb.
CICÉRON. Regarde comme une des principales causes de la chute de la république, les lois qui rendirent les suffrages secrets, II, 2. Vouloit que l’on abolit l’usage de faire des lois touchant les simples particuliers, XII, 10. Quels étoient selon lui, les meilleurs sacrifices, XXV, 7. A adopté les lois d’épargne faites par Platon, sur les funérailles, ibid. Pourquoi regardoit les lois agraires comme funestes, XXVI, 15. Trouve ridicule de vouloir décider des droits des royaumes par les lois qui décident du droit d’une gouttière, XXVI, 16. Blâme Verres d’avoir suivi l’esprit plutôt que la lettre de la loi Voconienne, XXVII, 1. Croit qu’il est contre l’équité de ne pas rendre un fldéicommis, ibid.
CINQ-MARS (DE). Prétexte injuste de sa condamnation, XII, 8.
Circonstances. Rendent les lois ou justes et sages, ou injustes et funestes, XXIX, 6.
Citation en justice. Ne pouvoit pas se faire, à Rome, dans la maison du citoyen ; en France, elle ne peut pas se faire ailleurs : ces deux lois, qui sont contraires, partent du même esprit, XXIX, 10.
Citoyen. Revêtu subitement d’une autorité exorbitante devient monarque ou despote, II, 3. Quand il peut, sans danger, être élevé dans une république à un pouvoir exorbitant, ibid. Il ne peut y en avoir dans un état despotique, IV, 3. Doivent ils être autorisés à refuser les emplois publics ? V, 19. Comment doivent se conduire dans le cas de la défense naturelle, X, 2. Cas où, de quelque naissance qu’ils soient, ils doivent être jugés par les nobles, XI, 6. Cas dans lesquels ils sont libres de fait, et non de droit ; XII, 1. Ce qui attaque le plus leur sûreté, XII, 2. Ne peuvent vendre leur liberté, pour devenir esclaves, XV, 2. Sont en droit d’exiger de l’état une subsistance assurée, la nourriture, un vêtement convenable, et un genre de vie qui ne soit point contraire à la santé : moyen que l’état peut employer pour remplir ces obligations, XXIII, 29. Ne satisfont pas