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ET ALPHABÉTIQUE.

pays, sont réglés par les lois civiles ou politiques, XXVI, 6.

Bâton. C’a été, pendant quelque temps, la seule arme permise dans les duels ; ensuite on a permis le choix du bâton ou des armes ; enfin la qualité des combattants a décidé, XXVIII, 20. Pourquoi encore aujourd’hui regardé comme l’instrument des outrages, ibid.

Bavarois. Quand et par qui leurs lois furent rédigées, XXVIII, 1. Simplicité de leurs lois ; causes de cette simplicité, ibid. On ajoute plusieurs capitulaires à leurs lois ; suite qu’eut cette opération, XXVIII, 10. Leurs lois criminelles étoient faites sur le même plan que les lois ripuaires, XXVIII, 13. Voyez Ripuaires. Leurs lois permettaient aux accusés d’appeler au combat les témoins que l’on produisoit contre eux, XXVIII, 26.

BAYLE. Paradoxes de cet auteur, XXIV, 2, 6. Est-ce un crime de dire que c’est un grand homme ? et est-on obligé de dire que c’étoit un homme abominable ? D, I, II, seconde objection.

Beau-fils. Pourquoi il ne peut épouser sa belle-mère, XXVI, 14. Beaux-frères. Pays où il doit leur être permis d’épouser leur belle-sœur, XXVI, 14.

BEAUMANOIR. Son livre nous apprend que les Barbares, qui conquirent l’empire romain, exercèrent avec modération les droits les plus barbares, XXVI, 15. En quel temps il vivoit, XXVIII, 18. C’est chez lui qu’il faut chercher la jurisprudence du combat judiciaire, XXVIII, 23. Pour quelles provinces il a travaillé, XXVIII, 38. Son excellent ouvrage est une des sources des coutumes de France, XXVIII, 45.

Beau-père. Pourquoi ne peut épouser sa belle-Aile, XXVI, 14.

BELIÈVRE (le président de). Son discours à Louis XIII, lorsqu’on jugeoit, devant ce prince, le duc de la Valette, VI, 5.

Belle-fille. Pourquoi ne peut épouser son beau-père, XXVI, 14.

Belle-mère. Pourquoi ne peut épouser son beau-fils, XXVI, 14.

Belles-sœurs. Pays où il leur doit être permis d’épouser leur beau-frère, XXVI, 14.

Bénéfices. La loi qui, en cas de mort de l’un des deux contendants, adjuge le bénéfice au survivant, fait que les ecclésiastiques se battent, comme des dogues anglois, jusqu’à la mort, XXIX, 4.

Bénéfices. C’est ainsi que l’on nommoit autrefois les fiefs et tout ce qui se donnoit en usufruit, XXX, 16. Ce que c’étoit que se recommander pour un bénéfice, XXX, 22.

Bénéfices militaires Les fiefs ne tirent point leur origine do cet établissement des Romains, XXX, 12. Il ne s’en trouve plus du temps de Charles Martel ; ce qui prouve que le domaine n’étoit pas alors inaliénable, XXXI, 7.

Bengale (golfe de). Comment découvert, XXI, 9.

Benoît Lévite. Bévue de ce malheureux compilateur des capitulaires, XXVIII, 8.

Besoins. Comment un état bien policé doit soulager et prévenir ceux des pauvres, XXIII, 29.

Bêtes. Sont-elles gouvernées par les lois générales du mouvement, on par une motion particulière ? Quelle sorte de rapport elles ont