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ET ALPHABÉTIQUE.


été jugés, et qui, ayant demandé de l’être une seconde fois, succomboient, XXVIII, 28.

Associations de villes. Plus nécessaires autrefois qu’aujourd’hui, pourquoi, IX, 1.

Assyriens. Conjectures sur la source de leur puissance et de leurs grandes richesses, XXI, 6. Conjectures sur leur communication avec les parties de l’orient et de l’occident les plus reculées, ibid. Ils épousoient leur mère par respect pour Sémiramis , XVI, 14.

Athées. Parlent toujours de religion, parce qu’ils la craignent XXV, 1.

Athéisme. Vaut-il mieux pour la société que l’idolâtrie, XXIV, 2. N’est pas la môme chose que la religion naturelle, puisqu’elle fournit les principes pour combattre l’athéisme, I, II, dixième objection.

Athènes. Les étrangers que l’on y trouvoit mêlés dans les assemblées du peuple, étoient punis de mort ; pourquoi, II, 2. Le bas peuple n’y demanda jamais à être élevé aux grandes dignités, quoiqu’il en eût le droit : raisons de cette retenue, ibid. Comment le peuple y fut divisé par Solon, ibid. Sagesse de sa constitution, ibid. Avoit autant de citoyens du temps de son esclavage que lors de ses succès contre les Perses, III, 3. Pourquoi cette république étoit la meilleure aristocratie qui fût possible, II, 3. En perdant la vertu, elle perdit sa liberté, sans perdre ses forces. Description et causes des révolutions qu’elle a essuyées, III, 3. Source de ses dépenses publiques, V, 3. On y pouvoit épouser sa sœur consanguine, non sa sœur utérine : esprit de cette loi, V, 5. Le sénat n’y étoit pas la même chose que l’aréopage, V, 7. Contradiction dans ses lois touchant l’égalité des biens, V, 5. Il y avoit, dans cette ville, un magistrat particulier pour veiller sur la conduite des femmes, VII, 9. La victoire de Salamine corrompit cette république, VIII, 4. Causes de l’extinction de la vertu dans cette ville, VIII, 6. Son ambition ne porta nul préjudice à la Grèce, parce qu’elle cherchoit non la domination, mais la prééminence sur les autres républiques, VIII, 16. Comment on y punissoit les accusateurs qui n’avoient pas pour eux la cinquième partie des suffrages, XII, 20. Les lois y permettoient à l’accusé de se retirer avant le jugement, ibid. L’abus de vendre les débiteurs y fut aboli par Solon, XII, 21, Comment on y avoit fixé les impôts sur les personnes, XIII, 7. Pourquoi les esclaves n’y causèrent jamais de trouble, XV, 16. Lois justes et favorables établies par cette république en faveur des esclaves, XV, 17. La faculté de répudier y étoient respective entre le mari et la femme, XVI, 16. Son commerce, XX, 4. Solon y abolit la contrainte par corps : la trop grande généralité de cette loi n’étoit pas bonne, XX, 15. Eut l’empire de la mer : elle n’en profita pas, XXI, 7. Son commerce fut plus borné qu’il n’auroit dû l’être, ibid. Les bâtards, tantôt y étoient citoyens, et tantôt ils ne l’étoient pas, XXIII, 6. Il y avoit trop de fêtes, XXIV, 23. Raisons physiques de la maxime reçue à Athènes, par laquelle on