dèle aux peuples qui veulent être
libres, XII, 19. Raisons physiques
du penchant qu’ils ont à se tuer :
comparaison entre eux et les
Romains, XIV, 12. Leur caractère :
gouvernement qu’il leur
faut en conséquence, XIV, 13.
Pourquoi les uns sont royalistes,
et les autres parlementaires : pourquoi
ces deux partis se haïssent
mutuellement si fort, et pourquoi
les particuliers passent souvent de
l’un à l’autre, XIX, 27. On les
conduit plutôt par leurs passions,
que par la raison, ibid. Pourquoi
ils supportent des impôts si onéreux,
ibid. Pourquoi et jusqu’à
quel point ils aiment la liberté,
ibid. Source de leur crédit, ibid.
Trouvent, dans leurs emprunts
même, des ressources pour conserver
leur liberté, ibid. Pourquoi
ne font point et ne veulent point
faire de conquêtes, ibid. Causes
de leur humeur sombre, de leur
timidité et de leur fierté, ibid.
Caractère de leurs écrits, ibid.
ANIUS ASELLUS. Pourquoi il put, contre la lettre de la loi voconienne, instituer sa fille unique héritière, XX VII, 1.
ANNIBAL. Les Carthaginois, en l’accusant devant les Romains, sont une preuve que, lorsque la vertu est bannie de la démocratie, l’état est proche de sa ruine, III, 3. Véritable motif du refus que les Carthaginois firent de lui envoyer du secours en Italie, X , 6. S’il eût pris Rome, sa trop grande puissance auroit perdu Carthage, ibid.
Anonymes (lettres). Cas que l’on en doit faire, XII, 24.
Antilles. Nos colonies dans ces lies sont admirables, XXI, 21.
Antioche. Julien l’Apostat y causa une affreuse famine, pour y avoir fixé le prix des denrées, XXII, 7. Antipater. Forma à Athènes, par sa loi sur le droit de suffrage, la meilleure aristocratie qui fût possible, II, 3.
Antiquaires. L’auteur se compare à celui qui alla en Egypte, jeta on coup d’œil sur les pyramides, et s’en retourna, XX VIII, 45.
ANOTONINS. Abstraction faite des vérités révélées, est le plus grand objet qu’il y ait eu dans la nature, XXIV, 10.
Antrustions. Étymologie de ce mot, XXX, 16. On nommoit ainsi, du temps de Marculfe, ce que bous nommons vassaux, ibid. Étoient distingués des Francs par les lois mêmes, ibid. Ce que c’étoit : il paroît que c’est d’eux que l’auteur tire principalement l’origine de notre noblesse françoise, XXX, 25. C’étoit à eux principalement que l’on donnoit autrefois les fiefs, ibid.
Appel. Celui que nous connoissons aujourd’hui n’étoit pas en usage du temps de nos pères : ce qui en tenoit lieu, XXVIII, 27. Pourquoi étoit autrefois regardé comme félonie, ibid. Précautions qu’il falloit prendre pour qu’il ne fût point regardé comme félonie, ibid. Devoit se faire autrefois sur-le-champ, et avant de sortir du lieu où le jugement avoit été prononcé, XXVIII, 31. Différentes observations sur les appels qui étoient autrefois en usage, XXVIII, 31. Quand il fut permis aux vilains d’appeler de la cour de leur seigneur, ibid. Quand on a cessé d’ajourner les seigneurs et les baillis sur les appels de leurs jugements, XXVIII, 32. Origine