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LIVRE XXVIII, CHAP. III.


qu’ils aient désiré de vivre sous des peuples barbares ? En peut-on conclure que les Francs eussent des égards particuliers pour les Romains ? J’en tirerois bien d’autres conséquences : plus les Francs furent surs des Romains, moins ils les ménagèrent.

Mais l’abbé Dubos [1] a puisé dans de mauvaises sources pour un historien, dans les poètes et les orateurs : ce n’est point sur des ouvrages d’ostentation qu’il faut fonder des systèmes.

  1. A. B. M. l'abbé Dubos a puisé dans de mauvaises sources pour l'histoire, etc.
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