Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t4.djvu/374

Cette page n’a pas encore été corrigée

On s’est beaucoup occupé de l’épigraphe du tome Ier : Prolem sine matre creatam, on n’a rien dit de celle du tome second. Il me paraît évident que le sens en est : Ce que m’a enseigné l’étude de la nature et de ses lois immuables.


.....Cithara crinitus Iopas
Personat aurata docuit quæ maximus Atlas.
Hic canit errantem lunam, solisque labores ;
Unde hominum genus et pecudes, unde imber et ignes ;
Arcturum, pluviasqae Hyadas, geminosqae Triones ;
Quid tantum Oceano properent se tingere soles
Hiberni, vel quæ tardis mora noctibus obstet.


Virgile, Æneid., I, 740 et suiv.