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CHAPITRE IX.
D'UNE MAUVAISE SORTE D’IMPÔTS.
Nous parlerons, en passant, d’un impôt établi dans quelques États sur les diverses clauses des contrats civils [1]. Il faut, pour se défendre du traitant, de grandes connoissances, ces choses étant sujettes à des discussions subtiles. Pour lors le traitant, interprète des règlements du prince, exerce un pouvoir arbitraire sur les fortunes. L’expérience a fait voir qu’un impôt sur le papier sur lequel le contrat doit s’écrire, vaudrait beaucoup mieux [2].