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discourut beaucoup sur le régime que je devois observer par rapport à mon mal de reins & au sable que je rendois. Je partis à l’instant de Sienne ; la colique me reprit & me dura trois ou quatre heures. Au bout de ce tems, je m’apperçus à la douleur violente que je sentois au bas ventre & à toutes ses dépendances, que la pierre étoit tombée. Je vins souper à

PONTEALCE, vingt-huit milles. J’y rendis une pierre plus grosse qu’un grain de millet, avec un peu de sable ; mais sans douleur, ni difficulté au passage. J’en partis le Vendredi matin, & en chemin je m’arrêtai à

ALTOPASCIO, seize milles. J’y restai une heure pour faire manger l’avoine aux chevaux. Je rendis encore là, sans beaucoup de peine & avec quantité de sable, une pierre