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marché quelque tems par des chemins montueux & difficiles, elles furent tout-à-fait sanguinolentes, & quand je fus couché je sentis je ne sai quel embarras dans les reins.
Le 16, je continuai le bain, & pour être seul à l’écart, je choisis celui des femmes où je n’avois pas encore été. Il me parut trop chaud, soit qu’il le fût réellement, soit qu’ayant déjà les pores ouverts par le bain que j’avois pris la veille, je fusse plus prompt à m’échauffer ; cependant j’y restai plus d’une heure. Je suai médiocrement ; les urines étoient naturelles, point de sable. Après dîner, les urines revinrent encore troubles & rousses ; & vers le coucher du soleil elles étoient