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ouvriers en parasols, & l’on en porte, de cette fabrique partout. Toute cette contrée est montueuse & l’on y voit peu de chemins unis ; cependant il s’en trouve de fort agréables, & jusqu’aux petites rues de la montagne, la plûpart sont pavées. Je donnai après dîner un bal de Païsannes, & j’y dansai moi-même pour ne pas paroître trop réservé. Dans certains lieux de l’Italie, comme en Toscane & dans le duché d’Urbin, les femmes font la révérence à la Françoise, en pliant les genoux. Près du canal de la fontaine la plus voisine du bourg, est un marbre quarré, qu’on y a posé il y a précisément cent dix ans, le premier jour de Mai, & sur lequel les propriétés de cette fontaine, sont inscrites & gravées. Je ne rapporte pointe l’inscription, parce qu’elle se trouve dans plusieurs Livres imprimés où il est parlé des bains de Luques. A tous les bains, on trouve