Page:Montaigne - Essais, Didot, 1907, tome 1.djvu/22

Cette page a été validée par deux contributeurs.
2
TABLE GÉNÉRALE DES CHAPITRES.


Volume.
Ch. 9. — Des menteurs. — (Sur la mémoire et le mensonge) 
 I
Ch. 10. — Du parler prompt ou tardif. — De ceux prompts à parler de prime saut et de ceux auxquels un certain temps est nécessaire pour s’y préparer (Sur l’éloquence) 
 I
Ch. 11. — Des prognostications. — Des pronostics (Sur l’astrologie et la prédiction de l’avenir) 
 I
Ch. 12. — De la constance. — (Du courage et de ses limites) 
 I
Ch. 13. — Cérémonie de l’entreueue des Rois. — Cérémonial dans les entrevues des rois (Sur la civilité, en particulier dans les visites des souverains) 
 I
Ch. 14. — On est puny pour s’opiniastrer à vne place sans raison. — On est punissable, quand on s’opiniâtre à défendre une place au delà de ce qui est raisonnable 
 I
Ch. 15. — De la punition de la couardise. — Punition à infliger aux lâches 
 I
Ch. 16. — Vn traict de quelques Ambassadeurs. — Façon de faire de quelques ambassadeurs (De l’obéissance à ses supérieurs ; utilité de se renfermer dans ses aptitudes) 
 I
Ch. 17. — De la peur 
 I
Ch. 18. — Qu’il ne faut iuger de nostre heur qu’après la mort. — Ce n’est qu’après la mort, qu’on peut apprécier si, durant la vie, on a été heureux ou malheureux (Sur l’inconstance de la fortune) 
 I
Ch. 19. — Que philosopher c’est apprendre à mourir 
 I
Ch. 20. — De la force de l’imagination. — (Des esprits forts) 
 I
Ch. 21. — Le profit de l’vn est dommage de l’autre. — Ce qui est profit pour l’un est dommage pour l’autre (Impossibilité de concilier les intérêts de tous) 
 I
Ch. 22. — De la coustume et de ne changer aysément une loy receue. — Des coutumes et de la circonspection à apporter dans les modifications à faire subir aux lois en vigueur (De la force de l’habitude ; inconvénients de l’instabilité des lois) 
 I
Ch. 23. — Diuers euenemens de mesme conseil. — Une même ligne de conduite peut aboutir à des résultats dissemblables (Sur la clémence ; part du hasard dans les événements humains) 
 I
Ch. 24. — Du pedantisme (ou faux savoir) 
 I
Ch. 25. — De l’institution des enfans. — De l’éducation des enfants 
 I
Ch. 26. — C’est folie de rapporter le vray et le faux à nostre suffisance. — C’est folie de juger du vrai et du faux avec notre seule raison (Degré de croyance qu’on peut accorder aux récits extraordinaires) 
 I
Ch. 27. — De l’amitié. — (Éloge d’Etienne de la Boëtie) 
 I
Ch. 28. — Vint neuf sonnets d’Estienne de la Boetie 
 I
Ch. 29. — De la modération. — (De la modération dans l’exercice même de la vertu et les jouissances des plaisirs licites) 
 I
Ch. 30. — Des Cannibales. — (Sur l’état des hommes vivant en dehors de la civilisation) 
 I
Ch. 31. — Qu’il faut sobrement se mesler de iuger des ordonnances diuines. — Il faut beaucoup de circonspection, quand on se mêle d’émettre un jugement sur les décrets de la Providence 
 I