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du quatrième volume

et dans C :

Sailliz est jus del col celui
Qu’il nen ot mie mains de lui.
Qui tot maintenant s’an foï.
Li prestes el santier sailli.

115 — B, C, Mès ses. — B, soupliz i escota. C, sorpeliz atacha.

116 — B, C, Si qu’il li laissa.

117 — n’i osa. B, ne li lust.

119 — C, ot les chos.

121 — C, Et cil. — B, C, fuioient.

122 — B, C, Qu’il ne. — C, savaient. — B, qui i estaient. C, qui il estaient.

123 — B, s’ala il. C, si ala.

125 — B, Si sost. C, Si saut.

126 — est. B, fors. — C, Et ses freres est fors.

131 — B, Ainz ni vaudrent lonc conte. C, Iluec n’osent lonc sejor.

132 — B, C, Einçois se. — B, mistrent el. C, mestent au.

133 — B, près lar est. — C, Vers l’ostel qui estait bien près.

135 — B, C, Qu’il gaaigna lor soupeliz. — « lor » manque à B. — Ce vers et le suivant sont intervertis dans B.

136 — B, C, S’en ont.

137 — fu. B, C, est.

138 — fu. B, C, ert.

141 — soir. B, mein. — Ce vers et le suivant manquent à C.

142 — main. B, soir.


Cette histoire, que Paul-Louis Courier s’est appropriée, existe aussi dans Bonaventure Desperriers ; une partie de l’aventure est reproduite dans les Contes de la