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du quatrième volume

124 — sus ma. B, sor la.

125-127 — B :

Fait li vilains, « si me sui cuiz.
— En non Dieu, sire », fait ses fiz,
« Se vos m’estes plus fous que nus.

130 — B, siecle atornez.

131 — B, Que li fiz conchie.

132 — n’ert. B, n’est. — jors. A, jous. — B, que il n’apere.

134 — B, Plus sont mès.

135 — B, soient li viel.


Ce fabliau, inédit et connu jusqu’ici seulement par l’analyse de Legrand d’Aussy, a été utilisé par Henri Estienne dans son Apologie pour Hérodote.


XCVI. — Estula, p. 87.

A. — Paris, Bibl. nat., Mss. fr., 837, fol. 227 voà 228 vo.

B. — Paris,» Bibl. nat.,» Mss. fr.» 19152, fol. 51 ro à 51 vo.

C. — Bibl. de Berne, Mss. 354, fol. 116 ro à 117 ro.


Publié par Barbazan, III, 60, et par Méon, III, 393-397 ; et analysé par Legrand d’Aussy, III, 376-379.

Ce fabliau porte par erreur dans le ms. B le titre de « Del Convoiteus et de l’Envieus », applicable à la pièce suivante, œuvre de Jean de Boves.


Vers 1 — B, Il se furent. C, Il furent.

2 — B, C, Sans soulaz.

3 — B, C, Et sans toute autre.

4 — fu bien. B, C, ert mout.

5 — B, Qui loz jors est en. C, En tot l’anz ert [en].

6 — B, Ce est.