101 — B, Si sent le berch et le mailluel.
103 — B, Se tint que li vilains nel sente.
104 — À partir de ce vers jusqu’à la fin de la pièce, le ms. B, détérioré par l’humidité, est tout à fait illisible, sauf en quelques rares vers que nous relevons.
119 — com, lisez comme.
145 — B, Si est taniost aperceüs.
146 — trahis. B, souspris.
148 — dist. B, fait.
153 — tonel, lisez tonnel.
161 — Que tuit li oeil. B, C’andoi li oel.
Ce fabliau, qui a trois versions différentes, se retrouve dans Chaucer (The Reeves tale, 1843, p. 30-33), dans Boccace (journ. IX, nouv. 6), dans les Cent Nouvelles nouvelles, dans le Parangon des nouvelles (nouv. 30), et dans La Fontaine, sous le titre du « Berceau ».
Les deux autres versions se trouvent dans le ms. de Berne, no 354 : l’une porte le titre « d’Estula et de l’anel de la paelle » ; l’autre, « le Meunier et les deux Clers », a été publiée par M. Wright (Anecdota literaria, 1844, 15-23), avec plusieurs versions anglaises.
Publié par Barbazan, II, 140 ; par Méon, III, 254-263 ; par Renouard dans Legrand d’Aussy, IV, app. 21-24 ; et donné en extrait par Legrand d’Aussy, IV, 204-207.
Vers 4 — à qui vint, lisez à qoi vint.
62 — mettre, lisez metre.
100 — dois, lisez doi.
101 — conoissoit, lisez connissoit.