Publié par Barbazan, III, 218 ; et par Méon, IV, 265-271.
Vers 3 — « Creeil », « Creil », en Picardie (Oise).
4 — battre, lisez batre.
14 — San, lisez sanz.
33 — « Corbueil », « Corbeil » (Seine-et-Oise).
87 — com, lisez comme.
129 — convent, lisez couvent.
179 — fineront, lisez finerons.
Ce conte se retrouve dans Malespini, dans l’Enfant sans souci et dans les Cent Nouvelles nouvelles (nouv. 85).
A. — Bibl. nat., Mss. fr. 837, fol. 210 vo à 211 vo.
B. — » » 2168, fol. 240 vo à 241 vo.
Ce fabliau est l’œuvre de Jean de Boves (Cf. plus haut les notes du fabliau des « Deus Chevaus », p. 295). — Publié par Barbazan, II, 115 ; par Méon, III, 238-244 ; par la Chaucer Society (Originals and analogues of some of Chaucer’s Canterbury Tales. London, 1872, p. 87) ; donné en extrait par Legrand d’Aussy, III, 18-22.
Vers 2 — vienent. B, vinrent.
3 — Despendu orent. B, S’orent despendu.
5 — quistrent. B, prisent.
6 — De. B, Et.
7 — B, Et uns des clers quant il vint.