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du premier volume

La première partie de ce fabliau se trouve dans le Grand Caton ; le sieur d’Ouville lui a consacré une longue histoire. Il se retrouve imité dans les Facetiæ de Bebelius, dans les Convivales sermones, dans Boccace (journ. VII, nouv. 8 et 9), dans les Délices de Verboquet, dans les Facezie, motti e burle de Donienichi, dans les Contes pour rire, et enfin dans La Fontaine, sous le titre de la « Gageure des trois commères ». Cf. dans la Romania (III, 192) les renvois de M. d’Ancona pour la nouv. 22 du Novellino.


XVI. — Du Chevalier qui fist sa fame confesse, p. 178.

Publié par Barbazan, II, 100 ; par Méon, III, 229-238 ; et traduit par Legrand d’Aussy, IV, 132-138, sous le titre « Du chevalier qui confessa sa femme ».


Vers 1 — « Le Bessin », petit pays de la basse Normandie, ayant Bayeux pour capitale ; « Vire » (Calvados).

33 — de lui, lisez d’à lui.

41 — penssa, s’il tant ; lisez penssa s’il, tant.

115 — conut, lisez connut.

124 — suis, lisez sui.

150 — et gent, lisez ne gent.

205 — Qu’elles, lisez Qu’eles.

214 — convenance, lisez couvenance.

232 — daignoit, lisez daingnoit.

234 — com, lisez comme.

247 — mauvèse, lisez mauvaise.

264-273 — Le ms. est déchiré au commencement de chacun de ces vers.

266 — Quar ; se ; lisez Quar, se.

Imité par Boccace (journ. VII, nouv. 5), Bandello,