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la mort, le pauvre auteur des Vacances de Camille s’approchait de la vérité.

Je ne crois pas que cette lettre ait été envoyée au destinataire. Elle ne porte pas de timbre de poste. Après l’avoir écrite, Mürger l’aura oubliée sur un coin de sa table, ou bien il se sera dit : — À quoi bon ?