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Préface.

tinu, et il aura parfaitement saisi l’esprit dans lequel je l’ai écrite. Je ne crois pas que l’on puisse me demander davantage.

Je ne dois point terminer cette préface sans offrir mes remerciments les plus sincères à mon ami M. Chabaille, qui, depuis longtemps, apporter à la plupart de mes travaux le concours d’un œil exercé et d’une sagacité philologique des plus remarquables. M. Ferdinand Wolf ne saurait non plus être oublié ici : c’est à lui que je dois plusieurs des indications bibliographiques qui se trouvent dans diverses notices placées en tête des pièces de ce recueil.

Francisque Michel.