Page:Monge - Coeur magnanime, 1908.djvu/107

Cette page a été validée par deux contributeurs.
109
CŒUR MAGNANIME

la moins jeune ; d’ailleurs l’âme n’a point d’âge, elle ignore les rides, sa jeunesse est comme elle : immortelle. Venez donc nous trouver, chère tante, et si vous entendez au fond de votre cœur la voix du Céleste Ami qui vous appelle, ne fermez point l’oreille, vous vous détourneriez du seul vrai bonheur. »

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Mademoiselle Solier entendait en effet retentir dans l’intime de son être ce pressant appel qui avait vaincu Michel Girard et Carmen. Le jour n’était pas éloigné où le rêve de la petite novice allait se réaliser dans toute sa plénitude.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .