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À CLÉMENCE ISAURE

sonnet.


Quel songe d’or tombé de l’écrin du sommeil
Pourrait, riche de grâce et de magnificence,
Peindre l’enchantement de ta noble existence
Dont l’éclat virginal luit comme un doux soleil !

Sur ton visage pur, au chaste lys pareil,
La beauté répandit ses dons en abondance ;
Le ciel d’Occitanie avec amour, Clémence !