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84 ` LlVRE.ll·l, CHAPITRE XII ` i ·les`funérailles·des·hommes illustrés par leurs services, sontzdétournées de leur objet primitif; et l’on voit CCI`- · ‘_ tains,nobles,· dans des occasions extraordinaires, ‘s’en `_ ` faire unprétexte à contribution prélevée sur le peuple. tw av. J.—C· 'Ainsi, "le premier,;Lucius Scipion·'l568) les applique À desjeux publics’qu'il veut donner. La loi dut mettre 20a. ' rdes limites aux donations excessives (550). Souscouleur ` " È .de donation, les sénateurs extorquaient un tribut régulier à leurs clients. Mais chose plus grave encore, J _ ne venant plus auxeomices qu’avec la_ suite nombreuse de leurs créatures, les grands. `y dominèrent; et·les élections habituelles enseignent quelle -C0llClll‘l'€l]C€ V u puissante la tourbe des clients faisait déjà aux classes, . moyennes indépendantes. De là ressort déjà la preuve · · ·- .,tle l'accroissement rapide`. et énorme dela populace, · · p dans.Ron1e surtoutptout d’ailleurs confirmela vérité du fait. Déjà, dans le siècle précédent (ll, p. 86), il avait -· _ fallu,fdevant`la marée montante des alfrancliis, régle- · menter pa1· des, dispositions sévères leur. droit de vote , I ` ·dans l'assemblée. Ces restrictions légales s’étaient main- ' tenues durant le V10 siècle : mais bientôt, au temps ile la deuxième guerre punique,· un mémorable sénatus- _ .consulte avait autorisé les femmes al’francbies à seçméler · des quêtes lorsqu'elles étaient d'hon11êtes mœurs; et les V ~enf:mts légitimes de pères, simples alfrancliis, pou- _ vaient dorénavant porter sans délit les insignes jusque- ' ‘ làconcédes aux seuls fils des ingénus,lp.:46, en note). ` " -- Quant aux~~Grecs et aux Orientaux qui alfluaient ‘  : dans Rome, leur condition était de .peu; supérieure au—x' A ·

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Ln ¤¤¤¤‘¤r¤¤¤¤ -, '??ÉCômn1e,si,ce n’était point 'assez de cesicauses natu- de la foule . . . - , mmeusySmme_‘ relles pour faire sortir de terre la populace de la me- - _ tropole, la noblesse et le parti démagogique commirent à l'envi la faute de lui fournir un aliment rflatteries,