iux , TOME Il - LIVRE il l ` ` frontières de llÉtrurie ; et l’on a retrouvé des inscriptions lapidaires celtiques non loin de Todi sur le liaut Tibre. Les frontières du norddes Etrusques. .. (suivez). '_ · XXII. CHAPITRE VII, p. 240. · l 'Lig. 3. Inteiccalez le passage qui suit ii la place des lig. 3 ci 6.
tous·les jours par les fondations de même nature.
Les cités nouvelles, romaines d’origine,_latines quant au droit, furent les étais, étais plus puissants chaque année, de la domination de Rome en Italie. Rome n'avait_ point à faire fond encore, soit sur les vrais Latins, qu’elle avait écrasés au lac Régille (p. 430) et à Trifa- 'num (p. I54), soit sur les anciens membres de la Ligue b albaine, qui toujours s'étaient regardés commeégaux sinon même supérieurs aux Romains, et qui suppor- taient impatiemment le joug de. la métropole tibé- rine, ainsi que l’attestent les mesures de sûreté cruelles dirigées contre Préneste au début de laguerre de Pyr- rhus (p. 207), ou les conflits sans —cesse renaissants, à Préneste et ailleurs. — Mais dans les derniers temps de ` la république, le Latium ne comptera plus guère que des ' cités accoutumées tout d’abord à respecter dans Rome leu1· capitale et leu1· métropole: se reliant à elle, au mi- lieu de pays de langue et de mœurs non romaines, par la communauté du langage, des mœurs et du droit. · Pesant tyranniquemcnt sur les territoires d’alentour, ellessappuient sur Rome pour la sauvegarde de leur ` ex·iste11ce,·pareilles àdes avant-postes se rattacliant à — · l’armée principale: enfin, le droit de cité devenant une source croissante d_e profits matériels, elles retirent des · . avantages considérables de l’égalité civile, même tres- restreinte, dont elles jouissent au regard de Rome, 'alors que; pa1· exemple, il leur est attribué d’ordinaire· une part directe dans la jouissance privativc du Domaine, '
