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La destruction du royaume de Macédoine avaitï cous ms slim. ronné l’édifice._de la souveraineté de Borne. Des·Colonnes d’Hercule aux embouchures du Nil et de.l’Oronte,.¤ I -` I son 6l1l[)l\`6·.COllS0li(lé·(IÃ(1llll`6Si.Hli le fait accompli. ll 1 i était commele dernier mot du Destin, pesant sur les ` ’ î peuples•du poids d’une inévitable sentence, et nelleur ~ laissant que le cl;oix_ anne, la ruine après une résis- · tance sans espoir, ou la mort; au bout du désespoir qui · A · I ` se résigne. L’l1istoire s’adresse a l’·l1omme sérieux qui ` ’ . la lith: elle exige,qu’il traverse avec elle les bons Let — i _‘ les mauvais jours , les paysages du printemps et ceuir qn`assombrit- l’l1iver! Si tel n’était point ’ son A · droit, celui qui l’écrit_se déroberait certes volontiers à · _ l’ingr`ate mission de la suivre dans ses détours multi- · I ples et- pourtant nionotones; de raconter avec elle les " · longs comlaats du puissant contre le faible, tantôt dans ’ A ces contrées espagnoles déja absorliées par la conquête,’ · et tantôt dans ces régions de l’Afrique, de la Grèce et I ’ A de l’Asie, qui n’obéissent encore quià la loi de la clim-- _ té/c.» Et pourtant, quelque insignifiants qu’ils paraissent,
