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sa langue tiède et douce sur les fesses nues de la courtisane, il se dressa sur ses pattes de derrière, posa ses deux autres pattes sur les hanches d’Hélène, et essaya de lui enfoncer son dard dans le derrière…

Suzanne riait à se tordre des efforts comiques du pauvre chien…

— Ah ! ah ! faisait-elle… Vois-tu pas que vous restiez collés tous deux !…

Hélène se laissait faire ; même, un moment, elle écarta les lèvres de son con, facilitant ainsi l’introduction…

Mais dès qu’elle sentit le dard pénétrer, tout brûlant, elle se recula vivement !…

— Ah ! non, fit-elle pas çà, tout de même !…

— Oh ! la vilaine laide ! dit Suzanne, en flattant Azor… Elle ne veut pas donner du mou-mour au gros toutou chéri… Venez trouver maîtresse vilain laid ; ça vous apprendra à lui faire des infidélités.

Elle se coucha sur le ventre, écartant,