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serrant les deux gros tétons contre sa pine, il se mit à pousser du ventre, tandis qu’Hélène, la tête inclinée sur la poitrine, recevait le bout rose du nœud dans la bouche…

Le collégien juta dedans, inondant les tétons de son foutre généreux… Et elle y laissa cette ample décharge, très en chaleur mais ne voulant pas jouir encore…

Après quelques instants de repos, elle s’agenouilla sur le sopha, lui tournant le dos… Et, l’ayant fait placer debout, derrière elle, elle se mit toute nue, jetant le peignoir sur un meuble.

— Mets-moi ton joli nœud sous le bras, fit-elle. Il jouit encore ainsi fort agréablement, et les poils follets des aisselles de la jeune femme, s’humectèrent du généreux liquide…

Maintenant Hélène était suffisamment énervée pour pouvoir ressentir les jouissances exquises…

Se mettant à quatre pattes, elle exposa ses