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des cris que poussèrent à la fois nos quatre personnages…

Ce fut un délire, une jouissance insensée, qu’on peut éprouver parfois, sans jamais pouvoir l’exprimer…

Quelques jours après la scène que nous venons de raconter au lecteur, Hélène se trouvait seule dans le salon, assise sur un sopha, dont la largeur et la mollesse incitaient à la volupté…

Elle était vêtue d’une gracieuse robe de chambre, en foulard noir, dont le corsage, ouvert en pointe sur la poitrine, laissait admirer, dans son entier, la ligne profonde des mamelles…

Elle songeait…

Quelques jours avant, „Au Matou noir” elle avait été présentée à un potache de dix-huit ans, imberbe et rose, lequel s’était senti très ému des avances faites par la courtisane…

— Venez me voir quand mon amant sera