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méditation dernière, son vagin laissait tomber une urine brûlante sur le ventre du blasé.

Pinoskoff banda alors furieusement, et, s’étant redressé, il empoigna sa maîtresse à la poitrine, suçant avec délices les bouts roses des mamelles.

— Jouissons ensemble ! s’écria Suzanne…

Et, en moins de temps que nous en mettons pour l’écrire, elles eurent quitté leurs moindres vêtements, ne gardant que leurs bas et leurs souliers, ce qui ajoutait un charme de plus à leur opulente nudité…

— Comment pourrait-on bien s’y prendre ? faisait Pinoskoff, qui, pour ne rien perdre de sa chaleur, si péniblement acquise, conservait son nœud au fond des fesses de Suzanne…

— Pas malin, répondit celle-ci, tu vas voir… Hélène a le cul poli et des hanches superbes… Il est donc naturel qu’elle le montre à son amant… Mets-toi à quatre