où, durant la répétition de la brouette, il l’avait prise ainsi…
Et le clown s’étendait, donnait des détails…
Il la tenait comme ceci, avait ses mains comme cela, sous les cuisses nues, dans le maillot de soie chair ; et elles étaient très belles, ces cuisses-là.
Un peu maigriottes, mais d’un verveux !… Tout-à-coup, voilà qu’il s’était mis à bander très fort, lorsque, par un hazard heureux, son ventre toucha précisément les fesses de Fanny…
Alors, il perdit la tête, et poussa follement l’acrobate, qui essaya de dégager ses cuisses… Son tutu se fendit, laissant le cul nu, un cul très gras, ravissant ainsi… Il avait tiré son nœud, et, aux éclats de rire des confrères qui assistaient à cette scène, il avait baisé la Fanny…
Et c’étaient toujours des histoires dans le même goût, racontées avec les mots crus et les détails scabreux…