Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/66

Cette page a été validée par deux contributeurs.

villa assuraient qu’on ne trouverait point son rival en inventions voluptueuses…

Ce fut Harry qui enseigna à notre belle dégrafée les mystères de certaines positions…

Il donnait à la jeune femme de véritables représentations à domicile, et quand, complètement nu, il venait à la donzelle, en marchant sur les mains, après avoir naturellement exécuté deux ou trois sauts périlleux, celle-ci se tenait les côtes de rire et livrait avec une sensualité de femelle son beau corps grassouillet aux baisers du clown… que ç’avait donc été drôle, lorsqu’il l’avait fait mettre à quatre pattes !…

Il s’était placé sous ses fesses, debout, la tenant par ses merveilleuses cuisses, et lui avait glissé son membre sous le ventre…

C’était bizarre et bon…

Harry assurait que toutes les femmes en étaient très satisfaites…

La belle Fanny, avec laquelle il avait débuté, avait vraiment très bien joui, le jour,