Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/62

Cette page a été validée par deux contributeurs.

lement des jupons, et elle jeta par la portière le trop plein de ce gros sournois…

Prompt comme l’éclair, Raoul s’était précipité, et sa verge toute raide vint s’enfoncer entre les fesses splendides de la jeune femme…

— Oh ! que c’est bon, faisait Raoul, poussant du ventre.

Il la culbuta sur les coussins…

Et, durant toute cette belle nuit d’été, jamais wagon-coupé, dit la chronique, n’entendit de pareils cris, et n’assista à de semblables débauches.


frise de fin de chapitre
frise de fin de chapitre