prenant par la taille, elle se mit à la tâter partout, baisant ses jolis seins durs, dont les mamelons se redressaient très rouges…
— Oh ! je t’aime toujours, murmurait-elle ; je t’aime plus que jamais !…
— Mais comment t’ai-je trouvée ici, en train de faire l’amour avec la plus graillonnante des maritornes ?
— J’habite à côté, ma mignonne !
— Tiens ! c’est donc comme moi ?
— Toi aussi ! Quelle chance ! Allons-nous en faire des parties !…
— Si tu me laissais m’habiller…
— Pourquoi ? N’es-tu pas bien ainsi… Tu es si belle… Oh ! la grosse cochonne ! quelle magnifique paire de fesses elle a !…
— Elles ont grossi, hein ! depuis le pensionnat ?
— Je te crois… Elles sont plus belles que les miennes !
— Oh ! non !
— Comment ! non ? Tu les as donc vues ?