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voir se guider entre priekeurs et priekeuses.

— Quelle erreur ! Cela se retient en une seule leçon. Mon priekeur me témoigna la joie la plus vive et nous filâmes, je ne te le cacherai pas, du parfait amour. Je m’échauffai aux gestes polissons que nous ne cessions d’échanger (il y a du sentiment là-dedans, je t’assure), et il pensa à la quatrième manière. Il m’avait placée à cheval sur ses genoux et sa queue frappait à coups redoublés entre mes cuisses, ne me chatouillant plus comme il devait le faire. J’étais très émue et la manœuvre ne me déplaisait pas. Néanmoins, me sentant faiblir, je prononçai le fameux mot « Défiance », et il suspendit le jeu, pour me rappeler que la règle du priekage contenait un léger amendement. En effet elle dit : « En aucun cas, la possession n’est autorisée, ni devant, ni derrière ».

— Derrière ?

— Oui, par le cul ! Ça se fait aussi.

— On n’a pas d’enfant par là ?

— Non, mais cela peut abîmer.

— Ah !

— Je reprends : « La possession n’est