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priekeuse avec la tête… du machin bien décalottée. Quand tu y seras.

— Dans un petit moment ! Ça me remue, de vous baiser et de… Comment dites-vous ça ?

— Sucer.

— Oui, de vous sucer. Toutes les priekeuses passent-elles par ces quatre phases ?

— Non, il y en a beaucoup qui s’en tiennent simplement à la première et à la deuxième : la vue et le toucher. Quelquefois cependant, elles se laissent aller. Par genre, vois-tu, il en est qui répugnent à sucer l’homme. En général, ce sont des grimacières, qui finissent avec le temps par s’y adonner. Quatre-vingt-dix femmes sur cent, des femmes de tempérament ardent, bien entendu, sont friandes de sucer la queue, oui, oui, le machin. Donc, celles qui sont priekeuses, et qui, par cela même, témoignent de la vigueur de leur tempérament, sont des sottes lorsqu’elles se réservent. Les organes du plaisir sont pour être caressés, à la condition de les tenir toujours en bon état et soignés. Ah, mignonne, mignonne, arrête-toi et allons nous placer