sous ma chemise. Seulement, je ne vois plus votre machin.
— Tu le verras toute à l’heure ! Lécher le bouton de la priekeuse qui, après avoir joui, suce le machin du priekeur.
— Oh, mon oncle, mon petit oncle ! Ah, ah, vous ne parlez plus, votre langue s’acquitte de sa mission. Ah, ah, vos mains me pétrissent les fesses !
— Dis le cul.
— Le cul, petit cochon d’oncle ! Ah, ah, comme vous savez faire, on jurerait que vous l’avez fait toute votre vie ! Ah, ah, non, non, je ne jouirai pas, ah… ah… ça vient, c’est venu, je ne voulais pas.
— Je bois ton ivresse ! À ton tour, vite, vite.
— Oui, mais la tête me tourne.
— À genoux, ma nièce, et appuyez les bras sur mes cuisses ; prenez dans vos lèvres ce gentil sire.
— Vous osez !
— Petite cochonne, je suis bien sûr d’Issitus te l’a demandé. Reste la quatrième manière de prieker ; Le branlage réciproque, qui s’exécute en chatouillant la