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— Oui, ma petite chérie ! lui fait toucher sa queue.

— Dites, machin : je préfère. Je vous le touche.

— Il passe les mains sous ses jupes et lui chatouille le bouton.

— Vous ne pouvez passer la main sous les jupes, vous ne m’avez laissé que la chemise ; passez-la donc dessous et chatouillez-moi. Ah, mon oncle aimé c’est bien, bien agréable, tout ça, et surtout de penser qu’on s’amuse bien tous les deux. Eh, vous vous amusez bien, quand je vous touche et que vous me touchez !

— Tu vois l’effet.

— Il est tout plein magnifique et le bout me semble gonflé.

— N’oublions pas la leçon. 3° Le suçage et le léchage.

Elle devint toute rouge, baissa les yeux, mais ne lâcha pas de la main la queue de son oncle, qui, étudiant l’effet, continua :

— Le priekeur lèche le bouton de la priekeuse.

— Vous voulez me le lécher ! Bon bon, donnez-moi votre place et glissez votre tête