les deux mains, comme s’il en improvisait un siège, et te dit : « Je suis pour vous appuyer, permettez que ce siège en chair se tende vers vous et vous soutienne ». — Il me dit ça… — Dans le salon, où il t’a fait entrer. — Il ne me tutoie plus ? — Cette seule fois ! Tu baisses les yeux, tu lui tournes le dos. — Et il me touche… les fesses. — Par dessous les jupes, les mains toujours jointes. Tu lui réponds : « Le siège est agréé, la place est acquise ». Il te palpe et vous n’avez plus qu’à vous satisfaire.
— Et dans le cas où il me conduirait à un groupe ?
— En entrant, il te mène auprès de la maîtresse du logis, à qui il te présente, si tu ne la connais pas, en prenant la main et la plaçant sur sa culotte.
— Tout de suite, comme ça ! Comment sait-il que je ne la connais pas ?
— En ce que, lorsque tu es entrée, en admettant que vous n’ayez pas parlé le long du trajet, vous n’avez pas échangé le signe de reconnaissance.