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IV
Se rendant à Suresnes, pour échanger leurs impressions intimes et sensuelles, le général de Mondino et sa nièce Balbyne, causaient de l’association, l’oncle mettant la nièce au courant de bien des détails.
— Vous me disiez, mon oncle, que nous portions les noms de priekeurs et prieakeuse !
— Plus bas, Balbyne.
— Et que les femmes n’arborent aucun insigne apparent, sauf dans le monde où elles vont s’amuser, comme moi, l’autre jour, et qu’elles ont des mots et des signes