rences de moralité, de vertu et de piété. De plus, toute personne désirant entrer dans l’association doit être présentée par un parent mâle, qui répond d’elle comme discrétion et moralité. » À ce propos, quel est ton parrain ?
— Il n’en a pas encore été question.
— Tu en es donc tout à fait au début. Tu n’es pas allée au Cercle ?
— Non, et j’ignore ce que c’est. J’ai vu l’abbé Tisse, qui m’a envoyée à mademoiselle de la Garinière. J’ai été instruite et conduite par ma gouvernante, miss Blettown.
— Eh bien, mais, tu as ton parrain tout trouvé, le général de Mondino.
— Oui, oui, en effet.
— Vous avez prieketé déjà ?
— À peine effleuré, nous irons au bois demain.
— Cela tombe à merveille ! Je suis sûre qu’il te conduira à un pied-à-terre qu’il a à Suresnes.
— Tu y es allée ?
— Je te crois ! Et j’ai cela de commun avec un grand nombre de nos priekeuses.