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pied sur son machin et il l’attrapait par les jambes ; entre ses mollets, sur les bas, on voyait courir le gros machin, qui gagnait les genoux et, tout à coup, elle s’accroupissait, presque malgré elle, pour être toute éclaboussée de jus, plus encore que moi, car, sur ses bas, ses jambes, sa chemise, il en coulait des gouttes.

L’abbé Béron qui, pendant ce temps, m’avait fait mettre toute nue pour me peloter à l’aise, en suivant ce spectacle, me poussait alors sur Stéphanie, me commandait de lécher cette ondée, afin d’en effacer les traces, et j’obéissais, l’avalant avec furie ; profitant de notre affolement, il nous fourrait son machin contre les chairs, tantôt à l’une, tantôt à l’autre, n’importe où, et, à son tour, comme j’étais sur les genoux, il m’inondait sur les épaules.

De telles séances nous livraient à ces prêtres, éteignaient en notre âme toute pensée de sotte révolte et, petit à petit, tantôt reprises par l’abbé Tisse, éprouvant un renouveau à notre endroit, tantôt présentées à d’autres ecclésiastiques, nous n’avions plus que la terreur du moment où