— Et tu aimes bien la pine du frère Hilaire ?
— Et j’aime bien la pine du frère Hilaire.
Oh, nos progrès marchaient à ravir au couvent des Bleuets !
L’abbé Béton apportait alors dans ses bras Stéphanie, qu’il plaçait à cheval sur les genoux du frère Hilaire. Elle était comme inconsciente, tant il l’avait surexcitée par ses fessées. On approchait une chaise, le dossier tourné vers elle, comme elle tournait le dos au frère, il lui dénouait le pantalon et lui retirait, sans qu’elle quittât ses genoux ; il lui épinglait la chemise sur les épaules, la courbait sur la chaise et, avec son machin, il la frappait sur le cul, les reins, la soulevant et la mettant entre ses cuisses ; elle envoyait les bras par derrière, se tordait dans le plaisir ; il lui chatouillait le bouton, la replaçait contre le dossier de la chaise qu’elle avait abandonné, et peu à peu elle se dressait debout, lui allongeait des coups de culs contre le ventre, grimpait sur son fauteuil et lui appliquait les fesses sur le visage ; il la secouait de ses grands coups de langue, elle appuyait le