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Ça y est-il ? Oui, découvre bien, écarte la chemisette, et les chairs bien dehors, et attention à la manœuvre, elle ne sera pas longue, tu as très bien travaillé de la bouche. Sens-tu bien le bout, dis ?

— Oui, oui, murmurais-je, il tient mes fesses ouvertes.

— Bon, très bon, deux calottes et ça marchera.

Deux calottes ! Ah ben oui ! Il prenait dans ses doigts le machin appuyé contre le trou de mon cul et, tout serré entre mes pauvres fesses, il le frottait rapidement et vigoureusement et, tout à coup, je chancelais sur mes jambes, un jet bouillant grimpait jusqu’à mes reins, je vacillais de droite et de gauche sous les mouvements du machin qu’il avait lâché pour me tenir les fesses à pleines mains ; quand le jus s’arrêtait de couler, il m’attirait sur ses cuisses, promenait ses gros doigts sur mon ventre, les glissait entre mes jambes et disait, dans un éclat de rire :

— Tu as joui, tu as pissé aussi, répète-le moi.

— J’ai joui, j’ai pissé aussi.