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être en petit pantalon, il vous obligeait à pirouetter, roulait les yeux et continuait :

— De quoi, de quoi qu’on se mêle, les pichonettes, on ne touche ça que le cul tout nu et une main sur le bouton, ou, brisquette de sort, ça mord, mord, mord.

En pantalon, la farce se déroulait. Assis sur un fauteuil, sa robe de moine troussée, il nous plaçait face à face entre ses jambes et disait :

— L’abbé, voici des petitettes bien sages. Elles vont nous montrer le cul et on leur fera pomponette, après qu’elles auront baisé mon arrosoir. Allons, toi, l’aînée, la Simonette, à genoux et la bouche sur la binochette. Une, deux, ça y est, ouvre bien la bouche, virginette, et fourre-toi ça dedans avec componction. Là, ça y est, une, deux, aspire, tire, serre le gland, trois, quatre, la bouche grande ouverte, essaye d’avaler tout le morceau. Bien, bien, des dispositions merveilleuses, la Simonette ! À toi, Phaninette, tourne-toi, et étale ton cul, qu’on juge s’il est toujours blanc. Ah, ça ne fait rien, qu’il touche la tête de ta camarade, elle les aime les fesses des autres