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il, un fruit mûr et exquis au toucher. Ma main vous est-elle agréable, courant sur ces deux jumelles ?

— Oh oui.

— En Angleterre, les Miss aiment qu’on les fesse ; vous irait-il que je vous flagelle… gentiment.

— Je ne sais pas, si ça ne fait pas mal, essayez.

Il me donna quelques légères claques, en se rapprochant de plus en plus de mes jambes et en égarant le pouce dans ma raie, ce qui me chatouillait délicieusement, il une poussée et je me trouvai assise sur ses genoux, notre chair nue, car il n’avait pas de pantalon sous sa soutane.

Il y eût un moment, de demi-extase, où nous demeurâmes sans parler, moi appuyée contre sa poitrine, enlacée par un de ses bras ; puis, sa main se dirigea sous mes jupes, par devant ; je les relevai pour la faciliter, elle glissa à travers le pantalon, souleva la chemise, me toucha les poils et me gratta le bouton. Ah, que j’étais heureuse ! Je n’y résistai pas et l’embrassai sur les deux joues.