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où il se différencie de la femme, voilà avec quoi il lui procure de tels plaisirs que vos rendez-vous avec Reine apparaissent de sottes billevesées d’esprit enfantin. Considérez cette fière attitude, il salue votre jeune beauté qu’il admire sans contrainte. Ma main lui est agréable, la vôtre le délecterait.

— Je ne puis la passer à travers le grillage.

— Vous consentiriez donc à le caresser.

— Pour me guérir de ma maladie et suivre vos bons conseils, je consentirais à tout ce que vous m’indiqueriez.

— Regardez-le bien, mon enfant, gravez son image dans votre cœur, pour qu’elle vous protège contre vos défaillances et promettez-moi d’être sage, de fuir ces vilaines pratiques qui vous dessécherait la peau et fanerait votre beauté.

— Je ferai tout mon possible, mon père ! Mais qu’a-t-il, il tressaute, il pleure.

— Il s’émeut de votre promesse et il en prend acte, pour vous récompenser, si vous persévérez.

— Me récompenser ?