Page:Momas - Association de demi-vierges, tome 2.djvu/114

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

loppants pour maintenir son sujet. Ces cochons d’hommes sont pour nous rendre cochonnes. Je donnerai un prix à celle de la classe qui sera la plus cochonne.

Sur le trapèze, des fillettes se balançaient, s’appuyant sur le ventre, et au mouvement des cordes, des mains leur happaient les fesses, couraient dans leurs cuisses, leur arrachaient des petits cris de volupté.

Puis, il y en avait qui quittaient le hall, se réfugiaient dans les salons pour des licences plus grandes ; la surveillance n’existait plus, le priekage se déroulait de tous les côtés à la fois, et les fillettes, se divisant, échangeaient les signes maçonniques pour raccrocher des amateurs, s’élançaient vers les couloirs, poursuivies par les galants provoqués, en un clin d’œil se débarrassaient de leur costume de gymnastique, se montraient en chemise et même nues.

— Balbyne avait reçu les ardentes minettes de Lemollard et l’avait sucé : un priekeur était survenu, un prêtre arrivé depuis quelques minutes, et Lemollard la lui céda.