remarqua, contre le mur, un casier en fer, garni de bouteilles pleines. Simone pressa un coin de ce casier, qui pivota sur lui-même et ouvrit le passage d’une cave.
— Ici, nous sommes à hauteur ordinaire, murmura Simone ; la cave est remplie d’excellent vin.
Le bruit de nombreuses voix parvint jusqu’à Balbyne ; Simone ajouta :
— Nous sommes dans les dépendances du Cercle ; prends garde à ces trois marches ; par un couloir en pente douce, partant d’une antichambre, nous arriverons à notre monde.
Au bout des trois marches, en effet, la porte ouverte, Balbyne reconnut une antichambre plongée dans une demi-obscurité et assez vaste, entourée de porte-manteaux, auxquels elle vit suspendus des jupes et des paletots.
De chaque côté de cette antichambre, et en face, s’étendaient des couloirs ; elles s’engagèrent dans celui de face, d’où venait le bruit des voix.
À travers des portes ouvertes, à droite, à gauche, Balbyne entrevit divers salons,