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maçonniques, et quelquefois je me délecte avec eux à parcourir toute la gamme des plaisir de la vue et du toucher. Tu verras, quand tu les connaîtras, car toi aussi tu es une chaude. Ah quelle joie, nous faisons une séance, n’est-ce pas, Messieurs ?

— Certainement, certainement.

— Ne réponds donc pas, la bouche pleine de mon cul, Edgar ?

— Je ne puis pas m’en séparer.

— Tu es un égoïste ? Je voudrais bien aussi goûter à ton robinet !

— Je me soumets, mais tu causais avec ton amie.

— Elle parle, parle toute seule, répliqua Issitus.

— Taisez-vous, monsieur le juge, ou j’apprends à Balbyne les poses de branlage.

— Non, non, elle les saura assez tôt, celles-là, initions-la plutôt pour la séance.

— Oui, la séance, elle ignore ce qu’il en est : mais, je la lui enseignerais bien plus volontiers, si vous acheviez tous les deux de vous dévêtir ; nous commencerions de suite.

— Je la déshabille et l’aspire : je le de-