lument libre d’aller et de venir avec sa gouvernante.
— Ma chérie, dit miss Blettown, le grand moment approche.
— Le grand moment est passé depuis hier.
— Yes, mais vous n’êtes pas encore du temple et vous vous apprêtez à en franchir les portes.
— Qu’avez-vous fait pendant le bal ?
— Je me suis couchée pour dormir et être toute… vaillante pour cette après-midi.
— Moi, j’ai prieké.
— Vous dites, ma Balbyne !
— J’ai prieké, avec mon oncle, le général. Saviez-vous qu’il en était ?
— Aoh yes, il me tripote toujours le cul dans les petits coins. Aoh, un gros cochon, le général, je vous le recommande.
— Jamais je ne l’aurais supposé.
— On cache si bien son jeu.
— Et vous en connaissez d’autres qui fréquentent la maison !
— Je ne puis tous les connaître, on est si nombreux.
— Vraiment !